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Lasérothérapie
Perte de poids

Si vous souhaitez perdre du poids, l'auriculothérapie au laser vous le permettra. Un questionnaire anthropométrique et le calcul de votre IMC seront la première étape pour définir et comprendre la raison de votre surpoids. Ensuite la stimulation de certains points neutralisera, entre autres, ( trois à quatre séances sont nécessaires) votre envie de manger afin de retrouver la sensation de satiété. En accompagnement, vous devrez avoir un régime alimentaire équilibré et pratiquez une activité physique régulière.

Pourquoi prend on du poids ?

Afin de perdre du poids, divers facteurs doivent être respectés pour obtenir un résultat correct :

  • Avoir un régime alimentaire équilibré
  • Pratiqué une activité physique régulière
Malheureusement l'obésité et le surpoids sont aussi dus à des gènes spécifiques entraînant toute une série de désordres alimentaires et de troubles métaboliques tels que les pathologies cardio-vasculaires, des affections associées à la résistance à l'insuline(diabète), certains types de cancer liés à des troubles hormonaux, des troubles du sommeil et respiratoires, etc.
Dans le cadre d'un rééquilibrage alimentaire, la stimulation de ces points (stimulation au laser, complètement indolore) peut vous aider à atteindre votre objectif de perte de poids.

Appétit Excéssif :

Vous ressentez toute le temps la sensation de faim ? Ou vous avez tout le temps envie de manger et vous ne pouvez pas vous empêcher de manger ? Ce trouble peut survenir de manière occasionnelle, par crises, ou de façon chronique.

Dans les deux cas, il ne faut pas le prendre à la légère car il peut entrainer une prise de poids rapide, avec toutes ses conséquences désastreuses pour votre santé. Cela peut aussi être lié à certains facteurs : sevrage tabagique, syndrome prémenstruel, manque de sommeil, prise de certains médicaments, troubles psycho-émotionnels...
Il faudra donc établir une stratégie adaptée afin de stimuler les points auriculaires qui vous permettront d'obtenir votre poids idéal.
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Généralement due à notre façon de manger et de ce fait d'amener un apport en calories supérieur à celui que l'on va utilisé pendant la journée, la prise de poids est inévitable.
Mais cette dernière peut survenir à cause de certaines maladies comme l'obésité (excès de masse graisseuse et modification du tissu adipeux pouvant nuire à la santé).
Plusieurs éléments sont à prendre en compte pour connaître la valeur en calories de notre besoin quotidien, comme notre âge, notre sexe, notre taille et enfin le type d'activité effectuée dans notre journée. La moyenne, se basant sur une personne âgée entre vingt cinq et cinquante et un an, se situe entre 2900  et 2500  Kcal par jour selon si on parle d'un homme ou d'une femme ( environ 2100 pour une personne plus âgée ).
Si on dépasse le nombre de calories dont notre corps a besoin, inévitablement la prise de poids apparaît, pouvant engendrer l'obésité ou le surpoids.
Cependant, elle n'est pas dûe qu'à cela, en effet, elle peut aussi se justifier par une amplification de la masse musculaire ou une augmentation du liquide interstitiel ( composé d'eau).
Si une prise de poids survient brusquement et de façon involontaire, il est préférable de voir un médecin qui en effectuant des analyses saura en déterminer sa cause car elle peut avoir des sources pathologiques.

On retrouve d'autres explications à une prise de poids :

- Pendant une grossese
- Pendant la période de croissance d'un enfant
- L' hypothyroïdie (insuffisance de production d'hormones par la glande thyroïde)
- Le syndrome de Stein-Leventhal (anovulation chronique hyperandrogénique)
- Le syndrome de Cushing (fabrication de cortisol en trop grande quantité)
- Des maladies spychiques comme la dépression ou l'alcoolodépendance
- Certains médicaments comme les antidépresseurs ou la cortisone 

Avant tout, il est important d'avoir un régime alimentaire équilibré tout en pratiquant une activité physique régulière d'une durée minimum de trente minutes ( marche à pieds, vélo, jogging...) deux à trois fois par semaine.

Voici quelques exemples d'aliments peu caloriques :

* La Pomme de terre : 92 Kcal/jour
* Les Flocons d'avoines : 68 Kcal/100g
* La Pomme : 75 Kcal
* La Banane : 70 Kcal
* Les Oeufs : 75 Kcal/oeuf
* Les Haricots rouges
* La Viande blanche : 120 Kcal/100g
* Le Poisson blanc : 90 Kcal/100g
* Le Fromage blanc zéro pourcent : 45Kcal/100g
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Les scientifiques montrent comment l'exercice affecte le corps:

Une nouvelle étude "cartographie" les gènes et les voies cellulaires qui contribuent à la perte de poids induite par l'exercice. Objectif : Mieux comprendre les mécanismes de ce processus afin de savoir comment les reproduire thérapeutiquement. Combinée à un mode de vie sain, une activité physique et physique régulière peut vous aider à perdre de la graisse, à développer votre masse musculaire et à maintenir un poids santé. L'explication principale est que l'activité physique aide à maintenir un taux métabolique basal élevé (la quantité d'énergie nécessaire pour maintenir la performance physique), permettant de brûler plus d'énergie au repos en plus de l'énergie brûlée pendant l'entraînement. Cependant, l'identification des mécanismes cellulaires derrière ce processus est difficile en raison des nombreuses cellules et tissus impliqués.Dans une étude menée par des chercheurs du MIT et de la Harvard Medical School, des souris ont été utilisées pour tester les effets de l'exercice et d'un régime riche en graisses sur les cellules, les gènes et les voies. De cette façon, ils espèrent identifier les gènes qui sont "activés" et inversement "désactivés" dans divers types de cellules suite à une exposition à l'exercice ou à un régime riche en graisses. Selon l'équipe scientifique, les résultats, publiés dans la revue Cell Metabolism, pourraient fournir des cibles potentielles pour des médicaments qui pourraient aider à améliorer ou imiter les bienfaits de l'activité physique. "Il est important de comprendre les mécanismes moléculaires derrière les effets bénéfiques de l'exercice et les effets néfastes des régimes riches en graisses afin de comprendre comment intervenir et développer des médicaments qui imitent les effets de l'exercice sur plusieurs tissus », explique le Pr Manolis Kellis du Massachusetts Institute of Technology. Pour ce faire, les chercheurs ont étudié quatre groupes de souris : deux groupes nourris avec un régime normal et deux groupes nourris avec un régime riche en graisses. Après trois semaines sur les régimes respectifs, un groupe de chaque régime a pu faire de l'exercice, tandis que l'autre groupe a été restreint. En utilisant une technologie de séquençage avancée, les chercheurs ont cartographié les réponses de 53 types de cellules trouvés dans trois tissus : le muscle squelettique et deux types de tissus adipeux.
L'exercice et une mauvaise alimentation ont des effets biologiques opposés sur le corps
Le tissu adipeux contient les adipocytes, cellules spécialisées dans le stockage de la graisse, et se distingue en plusieurs types, c’est pourquoi les chercheurs se sont intéressés au tissu adipeux viscéral (trouvé autour des organes internes, où il stocke la graisse) et au tissu adipeux sous-cutané (qui se trouve sous la peau et brûle principalement les graisses). Il ressort en premier lieu un constat très clair : « c’est la façon dont les régimes riches en graisses poussent toutes ces cellules et tous ces systèmes dans un sens, et l'exercice physique semble les pousser presque tous dans le sens opposé. », ajoute le Pr Manolis Kellis. L’étude montre que dans ces trois types de tissus, les cellules souches mésenchymateuses (CSM) semblaient contrôler bon nombre des effets induits par l'alimentation et l'exercice observés.

Les CSM sont présentes dans tout l'organisme dans le tissu adipeux, la moelle osseuse mais aussi l'os, le cartilage, le muscle... sont des cellules souches capables de se différencier en d'autres types de cellules, notamment le cartilage, l'os et les adipocytes (adipocytes). Dans le tissu adipeux, les chercheurs ont découvert qu'un régime riche en graisses modulait la capacité des CSM à se différencier en cellules stockant les graisses, tandis que l'exercice renversait cet effet. C'est une preuve supplémentaire qu'un régime riche en graisses favorise le stockage des graisses mais favorise également l'apparition d'un environnement plus inflammatoire. "Avec une surcharge lipidique dans les cellules graisseuses, il y a un stress extrême, qui conduit à une inflammation de bas grade qui persiste longtemps. C'est l'un des nombreux facteurs qui contribuent aux effets néfastes de l'obésité", a souligné l'équipe scientifique.Les chercheurs ont également découvert qu'un régime riche en graisses et l'exercice physique avaient également des effets opposés sur les voies cellulaires qui contrôlent les rythmes circadiens, les fonctions cycliques du corps déterminées par notre horloge biologique interne, et contrôlent de nombreuses fonctions : des rythmes sommeil/éveil aux rythmes corporels. la température, mais surtout la libération d'hormones et la digestion. "Le message à retenir est de manger sainement et de faire de l'exercice régulièrement." Ainsi, alors que l'exercice physique stimule l'expression des gènes qui régulent ces rythmes, un régime riche en graisses supprime leur activité. Ce dernier rappelle : « De nombreuses recherches ont montré que le moment de la journée où vous mangez est extrêmement important pour la façon dont vous absorbez vos calories.Le rôle des rythmes circadiens est très important, mais nous montrons que l'obésité et l'exercice physique ont un effet direct sur ces derniers des organes périphériques. La dernière partie de l'étude a comparé ces résultats avec une base de données de gènes humains associés à des traits métaboliques, puis a découvert que deux des gènes liés au rythme circadien identifiés dans cette étude, DBP et CDKN1A, avaient une obésité génétique chez les humains mutants. La prochaine étape consistera à analyser des échantillons de tissus provenant de l'intestin grêle, du foie et du cerveau des souris de cette étude afin d'explorer les effets de l'exercice et d'un régime riche en graisses sur ces tissus.Si ces résultats sont concluants, l'objectif sera de poursuivre le même travail, mais cette fois sur des bénévoles. En fin de compte, déterminer s'il serait éventuellement possible de développer des médicaments qui peuvent imiter certains des effets bénéfiques de l'exercice. En parallèle, l'équipe de recherche scientifique adhère à l'importance d'une bonne hygiène de vie, et surtout respecte les recommandations de l'Organisation Mondiale de la Santé en matière d'exercice physique : au moins 150 à 300 minutes d'exercice d'endurance d'intensité modérée par semaine. "Le message à retenir est de manger sainement et de faire de l'exercice régulièrement", a déclaré Manolis Kellis."Pour ceux qui ne peuvent pas le faire en raison d'un manque d'accès à une alimentation saine, d'un handicap ou d'autres facteurs qui empêchent l'activité physique, cette étude montre que nous avons maintenant une meilleure compréhension des voies, des gènes spécifiques et des molécules et processus cellulaires spécifiques. impliqués, et il est possible de les manipuler thérapeutiquement », conclut-elle.